
Caraquet-5
Miettes de son histoire
Par Monsieur J-Médard Léger
(Richesses du milieu)
Mais de plus grandes richesses que l’agriculture sont offertes aux habitants de Caraquet par la mer. La Baie des Chaleurs abonde de poissons de toutes sortes, tels que la morue, le maquereau, le saumon, la truite, le gaspreau, l’anguille, le hareng, l’éperlan, le homard. Dans le havre en plus des petits bateaux, on rencontre des goêlette, des chalutiers – maintenant des drageurs – et même des gros bateaux à vapeur qui viennent le poisson ou autres produits destinés à différentes parties du monde.
Caraquet est devenu le plus grand centre de pêche du Nouveau-Brunswick. Ses moyens de communications avec les parties éloignées du monde sont faciles et son havre est excellent. Il existe un commerce assez important avec les îles à l’est et les centres agricoles du sud. Cependant, plus récemment, son prestige devient moindre en ce qui concerne le commerce sur les îles, car Shippagan et
Tracadie progressent rapidement et deviennent eux-mêmes des centres de commerce non moins importants.
Par ailleurs les gens de Caraquet ont d’autres ressources, peut-être moindre, telles que l’extraction de la pierre pour leur propre usage seulement, la coupe et le commerce du bois; aussi, ils s’adonnent à l’agriculture. Il ne faut pas oublier la pêche et la culture des huîtres qui, au début, par excès de pêche et de la négligence aussi, étaient menacées et à l’initiative de gens intéressés, la culture des huîtres donne d’excellents résultats et promet beaucoup pour l’avenir. En dépit des difficultés du début, les huîtres de Caraque tint toujours une renommée mondiale.
Les occupations secondaires mises à part, Caraquet reste, sans contredit et principalement, un centre de pêche.
Saute dans ta barge mon beau capitaine: Donat Lacroix
Miettes de son histoire
Par Monsieur J-Médard Léger
(Richesses du milieu)
Mais de plus grandes richesses que l’agriculture sont offertes aux habitants de Caraquet par la mer. La Baie des Chaleurs abonde de poissons de toutes sortes, tels que la morue, le maquereau, le saumon, la truite, le gaspreau, l’anguille, le hareng, l’éperlan, le homard. Dans le havre en plus des petits bateaux, on rencontre des goêlette, des chalutiers – maintenant des drageurs – et même des gros bateaux à vapeur qui viennent le poisson ou autres produits destinés à différentes parties du monde.
Caraquet est devenu le plus grand centre de pêche du Nouveau-Brunswick. Ses moyens de communications avec les parties éloignées du monde sont faciles et son havre est excellent. Il existe un commerce assez important avec les îles à l’est et les centres agricoles du sud. Cependant, plus récemment, son prestige devient moindre en ce qui concerne le commerce sur les îles, car Shippagan et
Tracadie progressent rapidement et deviennent eux-mêmes des centres de commerce non moins importants.
Par ailleurs les gens de Caraquet ont d’autres ressources, peut-être moindre, telles que l’extraction de la pierre pour leur propre usage seulement, la coupe et le commerce du bois; aussi, ils s’adonnent à l’agriculture. Il ne faut pas oublier la pêche et la culture des huîtres qui, au début, par excès de pêche et de la négligence aussi, étaient menacées et à l’initiative de gens intéressés, la culture des huîtres donne d’excellents résultats et promet beaucoup pour l’avenir. En dépit des difficultés du début, les huîtres de Caraque tint toujours une renommée mondiale.
Les occupations secondaires mises à part, Caraquet reste, sans contredit et principalement, un centre de pêche.
Saute dans ta barge mon beau capitaine: Donat Lacroix