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Le pape François commence sa réforme de l'Église

4/13/2013

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À ce jour, le pape avait bien fait quelques sorties marquantes au Vatican, mais il n’avait rien fait en vue de réformer l’Église. Mais voilà qu’à peine un mois après sa nomination il nomme huit cardinaux venant de tous les continents pour le conseiller dans le gouvernement de l’Église. Parmi les projets de réforme figure en premier celui de réformer la Constitution sur la Curie romaine. On se rappelle qu’elle fut tenue responsable de bien des scandales dans ces derniers temps.

Les cardinaux nommés sont deux Européens (Italien, Allemand), deux Latino-Américains (Chilien et Hondurien), un Nord-Américain (des Etats-Unis), un Asiatique (Indien), un Africain (République démocratique du Congo) et un Australien.  Ils doivent travailler à la révision de la Constitution apostolique "Pastor Bonus" sur la Curie Romaine. 

François veut faire de l’Église catholique romaine une Église plus miséricordieuse, pauvre et missionnaire.



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Le pape François a du pain sur la planche.

3/20/2013

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Article intéressant pour entamer une réflexion.
«Pour modifier la structure monarchique de l'Eglise, François devra repenser le statut des nonciatures, valoriser les conférences épiscopales et le synode des évêques et, qui sait, créer de nouvelles institutions, comme un collège de laïcs capable de représenter l'Eglise comme peuple de Dieu, et non comme société cléricale prétendument parfaite. Ce ne sera pas une surprise si, d'ici peu, le nouveau pape convoque son premier consistoire afin de désigner comme cardinaux des évêques et des archevêques des cinq continents (et peut-être même des prêtres et des laïcs, connus sous le nom de "cardinaux in pectore", qui ne sont pas connus du public).»

Voir la caricature et l'article au complet.
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Le pape François annone ses couleurs

3/15/2013

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Dès sa première apparition en publique en tant que pape , François (pape) annonce ses couleurs, du moins cela nous apparaît comme tel. En lisant ce texte, il nous apparaît qu'il a le désir de marcher avec cet esprit du Concile 'peuple de Dieu en marche' qui comprend non seulement la hiérarchie mais le peuple doté du sacerdoce royal. Cet appel au peuple lancé du haut du balcon, nous plonge dans une nouvelle vision de l'Église de Rome. Il faut suivre ce qui viendra.

"Et maintenant, nous commençons ce chemin : évêque et peuple"... Voici les premiers mots, magnifiques, du pape François s'adressant à la foule rassemblée le 13 mars Place Saint-Pierre. Ce pape qui n'a pas oublié que l'Eglise, avant d'être une organisation, est un peuple en marche, sur "un chemin de fraternité, d’amour et de confiance entre nous". Et de lancer ce vibrant appel : "Prions toujours pour nous, les uns pour les autres. Prions pour le monde entier, pour qu’il y ait une grande fraternité. Et maintenant je voudrais donner la bénédiction. Mais avant, avant je vous demande une faveur : avant que l’évêque ne bénisse le peuple, je vous demande de prier le Seigneur pour qu’il me bénisse. La prière du peuple, demandant la bénédiction pour son évêque. Faisons cette prière en silence.”... L'homme du nouveau monde nous invite à cheminer ensemble et nous provoque déjà à bâtir un monde nouveau. Nous ne nous déroberons pas. Nous serons à ses côtés.


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Une Église catholique sans pape

3/1/2013

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Une Église catholique sans pape,  est-ce possible?

Eduardo Hoornaert

                                      Traduction du portugais: Jean-Guy Tremblay

L' annonce de la démission de Benoît XVI m'a surpris, comme  plusieurs autres personnes. La simplicité avec laquelle le pape a exposé ses sentiments m'impressionne. En agissant ainsi, il aide à débloquer la vison statique de la papauté et ouvre un espace opportun pour une discussion sur  le gouvernement de l'Église catholique. Il ne s 'agit pas d' un simple geste isolé. C'est ce que je voudrais démontrer dans le texte qui suit. Ma question se formule ainsi: l'Église catholique a-t-elle besoin d' un pape?

1. La papauté

La papauté n'est pas liée à l' origine du christianisme. Le vocable «pape», par exemple, n' apparaît pas dans le Nouveau Testament. En ce qui concerne  le  verset de l'Évangile de Matthieu  («tu es Pierre et sur cette pierre je  construirai mon  Église» 16,18), que l'on évoque habituellement pour légitimer la papauté, il serait bon de nous souvenir de ce que l' exégèse actuelle et exhaustive nous dit

lorsqu' elle affirme que nous ne pouvons pas isoler un texte de son contexte littéraire et le transformer en un oracle. Au contraire, celui qui lit les évangiles dans leur contexte comprend qu'il est absurde de penser que Jésus ait planifié une dynastie évangélique à caractère corporatif, basée sur une succession de pouvoirs. Les paroles «tu es Pierre» n'a rien à voir avec l'institution de la papauté. Ce fut l'évêque,  Eusèbe de Césarée, théoricien de la politique universelle  de l'empereur Constantin, qui, au IVème siècle, commença à dresser des listes successives d'évêques pour les principales villes de l'empire romain, de façon à adapter le système chrétien au modèle romain de succession des pouvoirs et, dans plusieurs cas, sans vérifier la véracité des noms inscrits. Cet évêque-écrivain est le créateur de l'image de Pierre-Pape. Mais la recherche historique pointe  dans une autre direction  et démontre que le vocable «pape» (pope), qui vient du grec populaire du IIIème siècle, est un terme dérivé du mot grec «pater» (papa) et exprime l'affection que les chrétiens témoignaient aux évêques et aux prêtres. Le terme pénétra le vocabulaire chrétien tant dans l'Église orthodoxe que catholique. En Russie, jusqu'à aujourd'hui, le pasteur d' une communauté se nomme «pope».  L'histoire nous apprend que le  premier évêque à être appelé «pape» fut Cyprien , évêque de Carthagène entre 248 et 258, et que le vocable apparut tardivement à Rome. Jean 1er fut le premier évêque de cette cité à être appelé pape (selon la documentation disponible) au VIème  siècle.

2. L' épiscopat.

En contraste avec la papauté, l'institution épiscopale repose sur de profondes racines à l' origine même du christianisme et se réfère à une fonction qui existait déjà dans le système «synagogal» juif.  Le mot «évêque» (qui signifie «superviseur») se retrouve plusieurs fois dans les textes du Nouveau Testament (1Tim 3,2; Tite 1,7; 1Pr 2, 25 et  Ac 20,29) de même que le substantif «épiscope» (1Tm 3,1). Dans les synagogues juives, «l'épiscopos» était responsable du bon ordre dans les réunions, et les premières communautés chrétiennes ne firent rien de plus que d'adopter et d'adapter le nom et la fonction.

3. La lutte pour le pouvoir.

À partir du IIIème siècle, se déchaîna, entre les évêques des quatre principales métropoles de l'empire romain (Constantinople, Alexandrie, Antioche et Rome), une dure lutte de pouvoir. Cette lutte fut particulièrement dramatique dans la partie orientale de l'empire, où se parlait la langue grecque. Les évêques en litige furent appelés «patriarches», un terme qui  accouple au «pater» grec  le pouvoir politique («archè» en grec, signifie «pouvoir»). Le patriarche est en même temps père et leader politique. Au commencement, Rome ne s'impliqua pas beaucoup dans cette dispute, se trouvant loin des grands centres de pouvoir de l'époque, et utilisait le latin, une langue moins universelle (utilisée seulement par l'administration et

l'armée). De son côté, Jérusalem, cité «mère» du mouvement chrétien, demeura en dehors de la lutte, étant une cité de peu

d'importance  politique.

Néanmoins, Rome se faisait valoir dans la partie occidentale de l'empire. L'évêque Cyprien de Carthagène, déjà mentionné, réagit avec énergie contre les prétentions hégémoniques de l'évêque de Rome et insista: entre les évêques doit régner une «complète égalité de fonctions et de pouvoir». Mais le cours de l'histoire fut implacable. Les patriarches successifs de Rome réussirent à amplifier leur autorité et élevèrent toujours plus haut le ton de la voix, principalement après l'alliance avec le pouvoir émergent germanique en Occident (Charles Le Grand, 800). Les relations avec les patriarches orientaux (principalement avec le patriarche de Constantinople) devinrent toujours plus tendus jusqu'à ce qu'advint la rupture de 1052. Ainsi débuta l'histoire de l'Église apostolique romaine proprement dite.

4. Le pape demeure du côté des plus forts.

Une fois «maîtresse du moment», Rome développa d'une manière toujours plus sophistiquée «l'art de la cour» appris à Constantinople. Pratiquement tous les gouverneurs de l'Europe occidentale apprirent l'art diplomatique avec Rome. Il s'agit d'un art qui n'a rien d'édifiant, qui inclut hypocrisie, mensonge, apparence, habilité à  manipuler le peuple, impunité, silence, langage codifié (inaccessible à ceux de l'extérieur), paroles religieuses (et trompeuses), cruauté recouverte de charité, accumulation de richesses (indulgences, menace de l'enfer, pastorale de peur, etc.).

L' imposante «histoire criminelle du christianisme» en 10 volumes, que l'historien K. Desxchner vient de terminer, décrit cet art éminemment papal en détails. Ce fut principalement par le moyen de l'art diplomatique, au cours du Moyen Âge, que la papauté eut un succès phénoménal. Sans armes, Rome affronta les plus grands pouvoirs de l'Occident et sortit victorieuse (Canossa 1077). Un des résultats fut, au dire de l'historien Toynbee, «l'Intoxication du pouvoir». Le pape commença à perdre contact avec la réalité et se mit à vivre dans un univers irréel, rempli de paroles surnaturelles (que personne ne comprenait). Ainsi que l'a bien observé Ivone Gebara, certaines d'entre elles sont encore en vogue aujourd'hui, comme lorsqu'on prétend que le Saint Esprit élira le prochain pape.

Avec l'avènement de la modernité, la papauté perdit peu à peu l'espace public. Au XIXème siècle, principalement durant le long pontificat de Pie XI, il devint évident que l'antique stratégie de s'opposer «au pouvoir de ce monde» ne fonctionnait plus. Elle ne conduisait plus  à des victoires, mais enregistrait des déroutes.  Ainsi, le pape Léon XIII décida de changer de stratégie et initia une politique d'appui aux plus forts. Cette stratégie fonctionna durant tout le XXème siècle: Benoît XV sortit de la première guerre mondiale à côté des victorieux; Pie XI appuya Mussolini, Hitler et Franco, tandis que Pie XII  pratiqua une politique du silence devant les crimes contre l'humanité perpétrés durant la seconde guerre mondiale, au coût  d'innombrables vies humaines. Après une brève interruption avec Jean XXIII, la politique appuyant silencieusement les forts (et  distribuant de généreuses paroles de consolation aux perdants) continuèrent jusqu' à aujourd'hui.

5. Aujourd'hui, la papauté est un problème.

En raison de tout cela, on peut affirmer qu'aujourd'hui la papauté n'est pas une solution mais un problème. On ne peut pas dire la même chose de l'épiscopat qui a, ces derniers temps, a écrit de belles pages. En plus des évêques martyres (comme Romero et Angelelli), nous avons eu, ici en Amérique Latine, entre les années 1960 et 1990, une génération d'évêques exceptionnels.  De plus, le concile Vatican II avança l'idée de la collégialité épiscopale, avec  l'intuition suivante: renforcer le pouvoir des évêques et limiter celui du pape. Mais tout se heurta à un mur insurmontable fait de mélange entre préjudice mental (la loi du moindre effort), fascination du pouvoir (Walter Benjamin), attitude de faiblesse devant le puissant (Machiavel ) et art de la cour (Norbert Elias). Néanmoins, il vaut la peine de se souvenir que le catholicisme est plus grand que le pape et que l'importance des valeurs véhiculées par le catholicisme est plus grande que son système actuel de gouvernement.

6. L'Église catholique peut-elle survivre sans pape?

Se demander si l'Église catholique peut survivre sans pape, c' est  poser la même question que de savoir si la France peut survivre sans roi, l'Angleterre sans reine, la Russie sans tsar, l'Iran sans ayatollahs. La France n'a pas disparu avec la mort du roi Louis XVI et l'Iran ne disparaîtra certainement pas avec la fin du règne des ayatollahs. Il y aura certainement des résistances et des nostalgies, des tentatives de retour au passé, mais les institutions ne meurent pas avec les changements de gouvernement. En général, le mouvement  de l'histoire vers une plus grande démocratie et une participation populaire est indéniable. Tôt ou tard, l'Église catholique devra affronter la question du dépassement de la papauté pour adopter un système  de gouvernement central plus adapté aux temps que nous vivons.

Pour conclure, nous pouvons dire que l'actuel désir de faire des pronostics quant au futur pape peut produire des effets contreproductifs. Puisqu'il ne s'agit pas du pape, mais de la papauté en tant que type de gouvernement. Le comportement des grands médias, ces derniers jours, prouve ce que j'écris ici. Il ne focalise  pas  sur la papauté mais sur le pape. Ainsi il renforce  le syndrome papal. Pour la  télévision, le pape est un grand négoce. Le succès de l'enterrement de Jean-Paul II, il y a quelques années, démontra  aux planificateurs des grands médias les potentialités financières des grands événements papaux.  

C'est pour cela qu'aujourd'hui les médias sont,  eux aussi,

« catéchétiques»; ils présentent  les éléments de base du catéchisme papal: le pape est le successeur de Pierre, le premier pape; l'élection d'un pape, en dernière analyse, est l'œuvre du Saint Esprit; il ne faut pas perdre l'indulgence plénière accordée exceptionnellement par Dieu lors de la première bénédiction du nouveau pape. C'est ce que nous verrons dans les prochaines semaines. Peut-être serait-il mieux de ne pas parler du pape ces jours-ci, mais de travailler sur les thèmes contribuant à bâtir l'Église future.

En terminant, rappelons ici deux exemples récents en lien avec cette problématique. Peu de personnes savent qu'à la fin des années 1980, le cardinal Aloisio Lorscheider put discuter avec le pape Jean-Paul II de la décentralisation du pouvoir de l'Église. Il n'existe pas de traces écrites ou photographiques de la discussion, mais il parait que le pape se montra ouvert aux suggestions du cardinal brésilien, comme l'indique l'encyclique «Ut unum sint». Ce point fut commenté par José Comblin dans l'un de ses derniers ouvrages, «Problèmes du gouvernement de l'Église» «Problemas de governo da igreja» ( voir internet). Il pense que le pape ne se compromit pas parce qu'il ne percevait pas, dans l'Église, une réelle volonté d'avancer vers une direction décentralisée du gouvernement. Dans ce cas-ci, il demeure évident que le problème n'est pas le pape, mais la papauté.  

Un exemple bien différent, mais qui pointe dans la même direction, provient de l'évêque brésilien, Helder Camara. Arrivant à Rome pour participer au concile Vatican II (celui-ci n'ayant jamais voyagé en Europe auparavant), il fut étonné du comportement dans la cour romaine au point d'avoir des hallucinations, comme il le raconta dans ses lettres circulaires. Une fois, à l' occasion d'une session dans la basilique Saint-Pierre, il eut l'impression de voir l'empereur Constantin, montant un magnifique cheval au grand galop, envahir l'église. Une autre fois, il rêva que le pape était devenu fou, jetant sa tiare dans le Tibre et mettant le feu au Vatican. Dans des conversations intimes, il disait: le pape ferait bien de vendre le Vatican à l'Unesco et de louer un appartement dans le centre de Rome. J' ai pu vérifier personnellement, en diverses occasions, comment Dom Helder détestait le «secret papal» (un des instruments du pouvoir de Rome). En même temps, l'évêque brésilien maintenait une amitié sincère avec le pape Paul VI, ce qui démontre que le problème n'est pas le pape, mais vraiment la papauté en tant qu'institution.

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Eduardo Hoornaert, né en Belgique en 1930, théologien et historien, enseigne l'histoire de l Église dans différents instituts de théologie du Nord-Est du Brésil depuis 1958. Il est également membre de la Commission d'études d'histoire de l Église en Amérique latine (CEHILA). Il accompagne aussi l'expérience des communautés ecclésiales de base et écrit l'histoire du point de vue du peuple, spécialement des Indiens, des Noirs et des pauvres.

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Vatican : spéculations sur les «papabili»

2/18/2013

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Les spéculations allaient bon train lundi à Rome sur des candidats favoris pour remplacer Benoît XVI, qui s'est retiré au Vatican pour les traditionnels "exercices spirituels" de Carême, une semaine après l'annonce historique de sa prochaine démission.

Aucun "papabile" ne semblait se dégager, même si des noms sont répétés: le cardinal canadien Marc Ouellet, proche du pape démissionnaire, mais aussi l'archevêque de Milan Angelo Scola, le Ghanéen Peter Turkson, le cardinal de Vienne Christoph Schönborn et l'archevêque de San Paolo, Odilo Pedro Scherer.
Suite...
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Un "bon pasteur" pour succéder à Benoît XVI

2/16/2013

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Voici ce que dit le : Le  Télégramme.com

«De l'avis des vaticanistes, le pape idéal pour succéder à Joseph Ratzinger, théologien allemand, fin mais peu communicatif, doit être un "bon pasteur", capable de s'adresser plus simplement aux catholiques mais aussi à l'ensemble du monde moderne. Mais, même si la majorité des catholiques vit désormais en Asie, Afrique et Amérique latine, il ne faut pas exclure a priori les candidats européens, a estimé samedi dans le journal La Stampa le cardinalitalien Velasio De Paolis. "Le Conclave votera sur la base d'une personne, pas (sur la base de l'endroit) d'où elle vient. Malgré la crise de la foi, l'Europe a encore beaucoup à donner à l'Eglise", a-t-il dit.»
Lire l'article au complet.
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