Les cardinaux qui n'oeuvrent pas à Rome veulent savoir ce qui s'y passe avant que le conclave soit ouvert. Voici ce se dégage des interventions : 'La candidature d’un papabile doté d’une expérience de terrain semble préférée à celle d’un homme de l’appareil du Vatican'. Ceci exprime bien le désir de briser ce cercle vicieux qu'entretenait la curie romaine. Nous avons besoin d'un pape du grand jour, qui oeuvre dans le monde réel, pas seulement entre les quatre murs du Vatican. De nombreux prélats réclament une réforme en profondeur d’une Curie décrédibilisée.
Le prochain pape devra être un pasteur, réformateur, un homme de poigne doté d'un esprit missionnaire. Voilà ce qui semble se dégager des commentaires entendus.
On se plaît à dire que le XXIe siècle est celui de la vérité, sait-on jamais?