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Trump est-il l'envoyé de Dieu?

1/7/2020

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​Élu par la majorité des Évangélistes blancs et l’Église catholique ultraconservatrice, Trump leur apparaît comme l’envoyé de Dieu qui doit sauver l’Amérique. Du moins, c’est ce que l’on peut comprendre quand on écoute leurs commentaires. Dans une vidéo, on entend un pasteur citer ce verset pour appuyer sa vision de Trump. Les peuples ont abandonné Dieu et voici qu’avec l’arrivée de Trump, le Seigneur fait des États-Unis un payé fortifié.

 Jr:1 :18  Aujourd’hui, j’ai fait de toi une ville fortifiée, une colonne de fer, un mur de bronze contre tout le pays: contre les rois de Juda, contre ses chefs, ses prêtres et la population du pays. (Texte de la Bible Version Segond 21).

Avec les derniers événements et suite à la mort du général Soleimani, dont certains considèrent comme un meurtre et d’autres comme un cas de légitime défense, Trump tente de rassurer la population en affirmant qu’il ne faut pas avoir peur des représailles  Dieu est avec les Américains. Cela me rappelle la guerre d’Irak, alors que les Américains étaient aux portes de l’Irak, un Irakien disait dans une entrevue à la télévision qu’il n’y avait pas de danger, car Allah était avec eux. Une heure plus tard, l’Irak était écrasé par les troupes américaines.

Il peut paraître curieux que ce pays soit si chrétiens. Pour comprendre la situation, il faut se situer dans l’histoire des États-Unis.
​
Au XVIIe siècle, il y eu deux grandes vagues d’émigrants puritains. En novembre 1620, un premier groupe débarque sur la côte du cap Cod et fonde New-Plymouth. Le second groupe, plus nombreux, s’établit dans la baie du Massachusetts. Ces groupes fuient la persécution et veulent être les gardiens de la morale. Ils joueront un rôle important sur la formation de la morale et de la politique du pays. À l’arrivée de l’Église catholique, celle-ci n’eut pas d’autre choix que de s’adapter à cette mentalité puritaine pour se faire accepter. Ce ne fut pas évident, lors de l’élection de John Kennedy, les journaux disaient que les papistes prenaient le pouvoir des États-Unis. Cela explique pourquoi l’Église catholique américaine est encore en grade majorité traditionnaliste et fait front contre le pape François, considéré comme schismatique. Cette mentalité est encore très présente aujourd’hui et certains mouvements évangélistes prétendent que c’est aux États-Unis que le retour du Christ doit se faire.

En se prononçant contre l’avortement, l’homosexualité et les transgenres, Trump se présente comme le défenseur de la morale Chrétienne. Dans son discours sur l’état l’Union prononcé le 30 janvier 2018, il disait : "Ensemble, nous sommes en train de découvrir l’Amérique, nous savons que la foi et la famille sont le cœur de la vie américaine, et non le gouvernement et la bureaucratie. Notre devise est : En Dieu nous avons confiance" (In God we Trust). Cela est suffisant pour s’attirer le support des évangélistes et des catholiques traditionnalistes de l’électorat américain et de la considérer comme l’envoyé de Dieu.

Dans une vidéo publiée par un groupe de l’Église catholique traditionaliste américaine, on compare Trump à l’empereur Constantin qui, pour eux, a sauvé les chrétiens en les sauvant de la persécution. Trump serait donc le sauveteur de la morale américaine, l’envoyé de Dieu!

Sources diverses : Internet
Le livre : Comment l’Amérique veut changer de pape, Nicolas Senèxe, Novalis, 2019,275 p.
 

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Nourrir la pauvreté

2/22/2016

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BUREAU DU SÉNATEUR RENÉ CORMIER·14 DÉCEMBRE 2017
Honorables sénateurs, dans quelques jours, nous rentrerons chacun chez nous pour la période des Fêtes. Nous quitterons cette enceinte en prenant la route avec confiance, car nous connaissons notre destination. Nous aurons le bonheur de pouvoir dire : « Je retourne à la maison, je rentre chez moi retrouver celles et ceux que j’aime. »
Just Home and Love! as the British-Canadian poet and writer Robert William Service said in his poem:
Just Home and Love! (…). And if you’ve both, well then I’m sure. You ought to sing the whole day long; It doesn’t matter if you’re poor With these to make divine your song. And so I praisefully repeat, When angels talk in Heaven above, There are no words more simply sweet Than Home and Love.
Si je cite ces vers aujourd’hui, c’est pour rappeler à notre mémoire collective un des jours les plus sombres de l’histoire d’un de nos peuples.
En effet, depuis 2003, nous soulignons le 13 décembre comme le Jour du souvenir acadien, afin de commémorer les nombreuses pertes humaines subies lors du Grand Dérangement. Le 13 décembre 1758 est le jour le plus meurtrier de cet ethnocide, quand s’est produite la disparition d’un nombre impressionnant de familles, d’hommes, de femmes et d’enfants, séparés les uns des autres et déportés de l’Île-Saint-Jean, aujourd’hui devenue l’Île-du-Prince-Édouard.
Dans les jours qui ont suivi cette date fatidique, 3 000 des 4 250 Acadiens qui vivaient dans l’île ont été déportés, et plus de la moitié ont succombé à la maladie ou sont morts noyés.
Those who survived could not say “I am going home” because they had no home to return to.
Si je souligne cet événement tragique aujourd’hui, honorables sénateurs, c’est pour mieux éclairer le présent. Selon les chiffres diffusés par le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, 65 millions de personnes ont été déplacées contre leur gré à la fin de 2016, le nombre le plus important jamais observé. Ce sont 65 millions de personnes qui ont perdu leurs biens.
Il reste beaucoup à faire pour que les inégalités s’estompent, que la pauvreté disparaisse et que l’ignorance fasse place à la connaissance et à la conscience.
Aussi, en montant à bord de ce grand oiseau d’acier qui me ramènera chez moi, en regardant du haut des airs ce long chemin d’eau qu’est le fleuve Saint-Laurent, je penserai à celles et ceux qui ne pourront dire : « Je rentre chez moi. » Je penserai à eux parce qu’ils sont en exil, ou tout simplement parce qu’ils dorment dans la rue, car la fureur des hommes leur a dérobé ce qu’ils avaient de plus précieux : home and love.
Enfin, permettez-moi de saluer nos nouvelles collègues, la sénatrice Mary Coyle et la sénatrice Mary Jane McCallum, en leur disant ceci : « Honorables sénatrices, bienvenue chez vous. »
L’avènement Trump ouvre une boîte de Pandore

L’élection de Donald Trump aux élections du 8 novembre aux États-Unis a ébranlé non seulement les Américains mais le monde entier. De partout les commentaires montrent bien la surprise de la population. Ses propos choquants, une réputation qui laisse à désirer, un homme sans expérience politique est désormais, ou du moins le sera officiellement en janvier, à la tête des États-Unis d’Amérique.

Une campagne présidentielle, qui relève du jamais vu, enflamme le peuple américain et malgré tout H Clinton obtient le vote populaire, mais perd la présidence. Comme canadien je me disais comment les Américains peuvent-ils suivre un tel personnage et surtout le porter au pouvoir comme leur président? Mais voilà le fait est que Trump a permis aux Américains d’exprimer ouvertement leurs frustrations envers le pouvoir qu’ils trouvent trop loin du peuple. D’exprimer leur désaccord face à l’immigration et plus particulièrement envers les Musulmans. Trump promet un mur entre le Mexique, la déportation de millions de personnes, l’élimination de soins couteux et bien d’autres choses comme le resserrement des lois sur l’avortement et sur les mariages de mêmes sexes. Le peuple applaudit et hurle leur satisfaction. Les chrétiens plus particulièrement, se réjouissent et votent à 80% pour cet homme qui finalement n’a rien de chrétien dans son discours.

Cette situation ne se  reflète pas seulement aux États-Unis mais dans plusieurs pays occidentaux dont la France. Actuellement, il y a un tournant vers la droite qui se dessine, que ce soit en France, en Allemagne, en Italie et même cela se ressent au niveau de l’Église catholique alors que le pape François tente d’ouvrir l’Église au monde il y a tout un mouvement à l’intérieur de la hiérarchie qui fait marche arrière et conteste les avancées du pape François.

Pourquoi un tel revirement? Cela peut s’explique en partie à cause de la situation instable de l’économie, de la disparition des valeurs traditionnelles et de l’instabilité que crée l’individualisme. Pour une population insécure la droite représente les valeurs d’autorité, d’identité nationale, Trump dira qu’il faut revenir aux valeurs qui ont formées l’Amérique soit  la tolérance religieuse, l’identité nationale, l’ordre, la sécurité, la tradition et le conservatisme. Pourtant, dans sa campagne il présente tout le contraire,  le peuple dans son insatisfaction et son insécurité applaudit et rejette les valeurs plus à gauche qui sont celles du progrès, de l’égalité, de la solidarité et même de la contestation.

Trump n’est pas encore officiellement assermenté et déjà sa méconnaissance de la politique internationale crée des frictions avec l’Asie.  Ce n’est là que le début de ses faux pas.  La boîte de Pandore est ouverte qu’en sortira-t-il? Y a-t-il au fond de cette boîte un peu d’espérance?

Albert Dugas
 
 
 

Où est le message d’accueil?Par Valois Robichaud, gérantologue
ACADIE NOUVELLE 
lundi 3 octobre 2016

L’Église est selon ce que j’ai appris et ce que l’on m’a enseigné, une mère; toute mère écoute et accompagne ses enfants. Comment accepter cette position de droite, radicale de certains évêques de l’Ouest canadien, qui me font froid dans le dos?
Est-ce que la personne qui demande de mettre fin à sa douleur, à sa souffrance, est quelqu’un qui se suicide, ou encore quelqu’un qui participe à une démarche d’euthanasie ou de suicide assisté? Aucunement! L’aide médicale à mourir s’inscrit dans une démarche éthique d’accompagnement, pour un continuum de soins, idéalement au centre même d’une démarche palliative, pour celui ou celle qui souffre et n’en peut plus. Bannir la famille et la personne décédée, qui a fait appel à la médecine du mourir, c’est revenir aux années ou toute personne suicidée était enterrée à l’extérieur du cimetière paroissial.
J’inviterai ces évêques à revenir à leur humanité et à visiter les grands malades, à côtoyer la souffrance là ou parfois, retiré dans nos salons douillets, on se plaît comme des pharisiens, à appliquer des lois morales extérieures à la personne souffrante. J’en suis extrêmement déçu de cette rhétorique! Le pape François nous parle de l’Église comme devant être désormais un hôpital de campagne pour l’accompagnement, la miséricorde et le pardon. Il est dommage que la droite de l’Église continue à émettre de telles positions. Comme baptisé, je dis «non» à de telles positions qui s’opposent, à mon sens, au message chrétien de l’accueil et du non-jugement.
Dr Valois Robichaud, gérontologue, Shippagan
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Commentaire: Françoise Enguehard

Tiré de l'Acadie Nouvelle, 30 septembre 2016
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Je n’avais pas l’intention de regarder le débat Trump-Clinton. D’abord, comme aime le répéter un de mes proches, on n’est pas aux États-Unis, donc on ne vote pas et, surtout, Trump me donne la nausée avec son air mauvais et sa main constamment levée, petit doigt accusateur en prime, qui me fait penser à la montée d’un autre dictateur «écarté» des années 1930 et on sait tous comme les choses ont fini.
Bref, j’allais jeter un coup d’œil et promptement éteindre la télé. 90 minutes plus tard, j’étais encore là! Le spectacle était unique et contenait tous les éléments du meilleur théâtre: un personnage principal éclatant de force et d’intelligence, face à un bouffon de premier ordre, les deux acteurs s’opposant dans un duel sans merci pour un enjeu unique: la présidence du pays dont on dit qu’il est le plus puissant au monde.
J’ai admiré Hillary Clinton: 90 minutes debout à un podium, pas un verre d’eau en vue (je suppose qu’il aurait été perçu comme une faiblesse d’avaler une gorgée!), ses notes bien en ordre et un sourire sans failles, parfois teinté d’un évident mépris qui désarçonnait clairement son opposant. Et j’ai été, encore une fois, étonné par Donald Trump, par ses approximations, ses commentaires ridicules, son entêtement à nier ce qu’il a pourtant dit et répété, sa paresse intellectuelle… bref, je m’arrête là.
Mais à la fin de cette joute, je n’étais pas encore au bout de ma surprise, de loin s’en faut: car les commentateurs, les électeurs potentiels qu’on avait sondés tout au long de ce débat, se sont mis à discuter de qui avait gagné, comme si les mensonges affirmés de Trump n’avaient pas été entendus, comme si ses hésitations et son manque de propositions concrètes pour l’avenir de son pays n’avaient pas été notés, comme si l’intelligence et l’expérience de l’autre ne pesaient pour rien dans la balance médiatique.
Oui, c’est un fait, je ne voterai pas en novembre, mais je suis persuadée que l’Amérique est le miroir de nos sociétés, des sociétés bien diminuées où l’amuseur public passe pour un penseur et où l’intelligence est d’emblée soupçonnée. Et c’est là une tragédie qui nous concerne tous où qu’on vive.
Le pape François et la peine de mort
On dit que les écrits demeurent, en effet. En 2006 je publiais sur Over-blog sous le titre Espace-vie. Comme je ne mets plus ce blog à jour je croyais qu'il n'existait plus, mais en faisant un peu de recherche je l'ai retracé et voici l'article que j'avais publié le 30 décembre 2006. Cet article rejoint les positions du pape François, l'abolition de la peine de mort et s'en remettre à la miséricorde divine.

Sadam n'’est plus...mais...Publié le 30 décembre 2006 par Albert Dugas
Sadam a été pendu, Sadam n’est plus, et je ne pleurerai pas son départ. Ce dictateur a commis plusieurs crimes durant sa vie et les souffrances que sa population a eu à endurer à cause de lui sont innombrables. Cependant il y a un mais…mais je n’accepte pas son exécution, pas plus que celles qui viennent d’être fait dans différents pays comme le Japon. Pour moi, l’exécution d’un être humain est un acte dégradant, peu importe la raison.
Sadam était un partisan de la peine de mort et il a fait exécuter plein de gens, peut-être fut-il pris à son propre jeu. Il ne faut pas oublier que les Etats-Unis sont également pour la peine de mort et pourtant ce pays se dit hautement civilisé et même chrétien???
Laissons à Dieu le droit de le juger, en lui enlevant la vie, c’est comme si on se substituait à Dieu. Confions-le à la miséricorde divine.Publié dans espace-vie

Éduquer à la paix
​Nous savons tous combien le rôle des parents, des institutions d’enseignements et de la société, sont importants dans l’éducation des enfants. Si nous savons faire bon usage de toutes ces composantes nous pourrons changer notre monde. Mais la situation se complique lorsque l’on n’arrive pas à créer un certain consensus. Au niveau de la famille et des institutions d’enseignement,  cela semble un peu plus facile, mais lorsqu’on est au niveau de la société c’est plus compliqué surtout à cause de l’accès à internet.
Quand des grandes institutions décident de travailler ensemble, peu importe leur allégeance religieuses, il y a de fortes chances que cela porte fruit. Nous en avons un exemple vivant. À l’intérieur de dialogue interreligieux, Hindou et Chrétiens ont décidé de former les jeunes générations en artisans de paix.
Pourquoi le pape François fascine-t-il?
En consultant les médias, on se rend compte que le pape François est tout aussi populaire chez les non-croyants que chez les croyants. À l’intérieur des croyants catholiques, c’est surtout les plus ouverts, moins centrés sur l’Église qui le suivent. À remarquer que la hiérarchie n’emboîte pas facilement le pas et cela se comprend.

Pourquoi la hiérarchie catholique n’emboîte-t-elle pas le pas? C’est parce que le pape François présente une Église qui correspond à ce que vivent la plupart des catholiques des pays occidentaux. Vous remarquerez que la plupart des pays africains sont retissant aux propositions du synode sur la famille parce qu’ils n’ont pas la mentalité occidentale.

Chez les catholiques occidentaux, on remarque une tendance à pratiquer une Église à la carte, à prendre ce qui leur convient et oublier ce qui ne leur convient pas dont les dogmes. Conscient de ce fait le pape François ne s’arrête pas aux dogmes ce qui lui fera dire : ‘Arrêtons de juger et de condamne à partir des dogmes, soyons accueillants et miséricordieux’.  Pour cette raison, il vient de proclamer une année de la miséricorde.

Notre société est à la recherche d’une spiritualité qui signifie la liberté individuelle et qui aide à donner un sens à la vie et cela sans être relié à une religion  qui encadre la liberté. Dans une recherche faite au Québec auprès des personnes âgées dans les années 90, les résultats démontraient déjà que ces personnes étaient plus à la recherche d’une spiritualité que d’une Église. Elles étaient en recherche de sens et non de vérités toutes faites. À travers toute cette recherche, il y a un désir de trouver le divin en soi plus qu’un Dieu extérieur qui a souvent été présenté sous une forme paternelle, souvent sévère.

Le pape François est un prophète, il n’arrivera pas nécessairement à ramener à l’Église institutionnelle les catholiques qui s’en sont éloignés. Je crois que son but est de faire prendre conscience à ceux qui cherchent un sens à leur vie que l’Évangile est un chemin à suivre. Pas étonnant que les tenants de l’Église institutionnelle le regardent avec méfiance.

 

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