Les États-Unis se sont toujours présentés comme les leaders de la démocratie et défenseurs des droits humains. Qu’en est-il dans la réalité? Si ce fut le cas à un moment de leur histoire, on peu en douter en ce moment.
Comment défini-t-on la démocratie? Le mot démocratie tient ses origines du grec : dêmokratia, formé de dêmos, « peuple », et de kratos, « pouvoir ». On parle donc de pouvoir du peuple.
Pour le commun des mortels quand on a le droit de voter on vit dans une démocratie. Sommes-nous bien conscients que pour exercer sont droit de vote il faut être éclairés, c'est-à-dire connaître être au courant de ce qui se passe. Comment cela est-il possible alors qu’on déforme la réalité. Le peuple vit dans le monde de la désinformation, pour exprimé cette réalité, Trump a inventé le mot Fake News, et semble être un expert dans ce domaine.
En observant comment se déroulent les élections aux États-Unis. Pour les Américains, il est évident que la démocratie c’est d’abord et avant tout le pouvoir de l’argent. Pour se présenter comme candidat aux élections il faut d’abord et avant tout être multi millionnaires ou du moins millionnaires. Il en fut probablement toujours ainsi mais c’était moins évident. L’avènement Trump vient nous réveiller à cette réalité. Ce qui, dans les faits, veut dire que c’est l’argent qui parle et non le peuple. Les conséquences sont lourdes parce que le ou la candidate qui voudrait vraiment défendre les droits du peuple, ne peut pas y accéder si elle, ou il, n’est pas au moins millionnaires.
Les élections américaines sont devenues un monologue de riches. Ce monologue de riches fait que le peuple n’a plus rien à dire. Son vote ne fait que confirmer la suprématie de l’argent. 'Gouverne qui a l'argent et non les élus'. Cette situation prive les Américains de leur droit politique et écrase les droits de l’homme puisque le peuple n’a plus rien à dire.