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Un institution qui ne s'adapte pas...

10/28/2014

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Lire Actes : (6,1-7)
J’ai connu une grande compagnie qui faisait de bonnes affaires. Mais voilà qu’avec le temps les choses ont changé, cette compagnie vit ses profits diminuer. Le président décida alors d’être plus conservateur et de fonctionner comme au début de la compagnie. Son père avait connu une chose semblable, mais s’était adapté à la nouvelle situation cela avait remis la compagnie sur pied. Ce ne fut pas le cas du fils qui vit sa compagnie perdre de la vitesse de trimestre en trimestre. Elle finit par fermer ses portes. Elle n’avait pas su s’adapter.

Dans la lecture des Actes des apôtres, on constate que les premières communautés s’adaptent aux nouvelles situations pour pouvoir répondre au besoin des premiers chrétiens. Notre Église connaît actuellement de grandes difficultés dans certains pays pourquoi ne pourrait-elle pas s’adapter elle aussi. Nous n’avons presque plus de prêtres, il viendra un moment où nous n’aurons plus d’Eucharistie. 

Pourquoi ne pourrait-on pas adapter l’accès au sacerdoce selon les besoins des différents pays ? Notre Église est universelle, mais cela ne veut pas dire qu’il faut que tous fassent la même chose en même temps. Pourquoi les évêques des Églises nationales qui connaissent bien leurs situations ne peuvent-ils pas modifier certaines règles ?

Jésus a dit que le sabbat était fait pour l’homme et non l’homme pour le sabbat, alors pourquoi fait-on passer la loi avant les chrétiens ?

Je crois que le pape François a compris cela et il veut changer le visage de l’Église. Si l'on suit l’acutalité religieuse on se rend compte que cela est loin de faire l’unanimité beaucoup préfèrent une Église moyenâgeuse à une Église du Christ.

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Un synode à odeur de concile

10/16/2014

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Le cardinal Montini, décédé en août 2012, avait dit dans une entrevue que l’Église était 200 ans en retard et qu’un concile Vatican III serait de  mise. Pour ceux et celles qui ont vécu le Concile Vatican II vous vous rappelez certainement ce qui se passait. Personnellement j’étais au noviciat de Pères de Sainte-Croix et nous suivions religieusement ce qui s’y passait. Chaque dimanche Radio-Canada présentait le déroulement de la semaine.

Je me souviens encore très bien de l’enthousiasme que cela suscitait chez nous, futurs prêtres. . Nous avions le feu sacré et l’espoir d’une Église plus adaptée à notre temps était là. Malheureusement, le pape Jean XXIII avait ouvert les portes et les fenêtres du Vatican trop grandes et les cardinaux se mirent à frissonner, après dix ans ils commencèrent à tout fermer. Certes, après 50 ans il y a tout de même des choses qui ont résistées, exemple la liturgie. Mais pourquoi parler du concile alors qu’un synode n’est pas un concile?

Ce synode me rappelle ces temps d’enthousiasme et après avoir pris un certain recule je me sens encore enflammé par ce qui s’y passe. Il me semble que même si un synode ne peut pas changer la doctrine il peut changer la vision pastorale pour la rendre plus adaptée à notre temps. Le pape François ne parle pas de nouvelle évangélisation comme ses prédécesseurs mais il agit pour que l’Évangile soit annoncé à tous et toutes. Il veut d’un Église qui accueille, d’une Église miséricordieuse, d’une Église qui accompagne les divorcés remariés, les couples en union libre, les homosexuels, enfin tous ceux et celles qui sont en cheminement et nous sommes tous en cheminement dans notre vie et notre foi. Personne n’a encore atteint le but.

Certains cardinaux, dont le cardinal Ouellette qui était archevêque de Québec, ont dénoncé l’approche du pape François. Mais le pape a fait appel à la franchise et à l’ouverture dès le début du synode sachant bien que trop de choses sont demeurées en veilleuse jusqu’à date.

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Un regard critique sur une Église en perte de vitesse.

8/26/2014

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Cet article a été publié dans le journal L’Étoile du 21 août 2014. Mario Mercier.

Albert Dugas : Un regard critique sur une Église en perte de vitesse.

L’Étoile : Quel constat faites-vous de l’état actuel de l’Église catholique?

Albert Dugas : C’est évident qu’avec la venue du pape François en 2014, l’Église prend une autre allure. Je pense qu’avant lui l’Église catholique prenait une tangente où les gens n’écoutaient plus et n’étaient plus intéressés. C’était l’indifférence, et je crois que malgré tout cela l’est encore. L’Église catholique en fut une dogmatique qui parlait un langage théologique. Ce fut une Église qui souvent condamnait. Ça ne devait pas être son rôle. On peut s’en rendre compte maintenant que le pape François est là, et c’est un éveil. Il a vraiment une approche qui relève de Jésus-Christ. L’Église catholique a détenu un pouvoir pendant longtemps, ce qu’elle n’a maintenant presque plus, surtout dans les pays européens et nord-américains. Avec le pape François, il y a une certaine autorité.

L’Étoile : Si on parle d’autorité, cela veut dire que le pouvoir de l’Église est toujours en quelque sorte présent…

Albert Dugas : Il faut faire une différence entre pouvoir et autorité. Le pouvoir dicte tandis que l’autorité ne le fait pas. Ça dit simplement et les gens écoutent. Ensuite ils acceptent ou rejette ce qu’ils veulent. On dit que le Jésus parlait en homme d’autorité. Mais il n’avait aucun pouvoir.

L’Étoile : Quel rôle l’Église devrait-elle avoir dans la société acadienne actuelle?

Albert Dugas : L’Église peut avoir un rôle comme n’importe où ailleurs. S’il y a des gens qui souffrent d’injustice ou qui sont désespérés, l’Église a un rôle. L’Église que je connais ne s’est pas donné les instruments voulus pour pouvoir aller auprès de ces  gens-là. Présentement, je ne le vois pas. On s’est tellement attaché à vouloir sauver la structure existante de l’Église que l’on a oublié de regarder ce qui se passait.

L’Étoile : Dans ce cas quelle est, selon vous, la solution?

Albert Dugas : Il va falloir qu’il y ait une transformation qui se fasse. On a presque plus de prêtres. On a pas ou peu de guides spirituels qui devrait être, dans ce cas, des laïques qui ont une préparation, un cheminement intérieur et qui peuvent aider les gens à faire des discernements dans ce qu’ils voient et dans ce qu’ils vivent. Si l’Église ne travaille pas plus en collaboration avec les laïques, je ne crois pas qu’elle a beaucoup d’avenir et elle est condamnée à mourir petit à petit.

L’Étoile : Les Églises catholiques sont de plus en plus vides. Qu’est-ce qui explique ce désintéressement?

Albert Dugas : Ce n’est pas d’abord en présentant les sacrements aux gens qui va les amener à l’Église. Il y a une autre étape plus importante à faire avant, celle de les accueillir et de les instruire sur l’Église et sur la foi. Nous, les Acadiens, on se bat pour notre langue et pour conserver notre culture. On le fait parce que l’on y croit et on croit que c’est important. Si l’Église nous apparaît comme une valeur importante, on va aussi vouloir la défendre. Pour le moment, ma perception est que pour le peuple acadien, présentement, l’Église n’est pas vraiment une valeur. Il faut qu’elle se présente autrement si elle veut être intégrée à la société.

Est-ce possible de vivre sa foi à l’extérieur des cadres de l’Église?

Albert Dugas : Un certain nombre de gens vont encore à l’église. Je parle souvent de l’Église et les gens me confient qu’ils se demandent pourquoi ils y vont. D’un autre côté, ils se sentent mal s’ils n’y vont pas. Ce qui se déroule actuellement dans  nos églises, c’est qu’on ne parle plus aux gens qui la fréquentent. Ils ne savent pas ce qui se passe vraiment et ils ne comprennent pas. L’Église n’apporte pas ce que ça devrait apporter. Dans l’état actuel, puisqu’il y a une grande indifférence envers l’Église, il faut aller au milieu des gens et leur permettre de parler de leur foi en dehors des structures de l’Église. Il faut rejoindre les gens là où ils sont. Les valeurs que Jésus-Christ a enseignées se pratiquent encore aujourd’hui, mais le plus souvent en dehors de l’Église. Il suffit de remarquer les gestes de charité et de solidarité lorsqu’il se produit une catastrophe ou les mouvements de sympathie quand les gens se font tuer dans certaines circonstances. Ce sont des valeurs chrétiennes. Malheureusement, les gens ne les identifient pas comme étant des valeurs chrétiennes, car ils ne les vivent pas à l’intérieure de l’Église. D’ailleurs, Ils n’ont pas à les vivre à l’intérieur de l’Église. Ils n’ont qu’à les vivre pour faire une église vivante.

L’Étoile : Quelle est votre opinion concernant l’épineuse question du célibat des prêtres au sein de l’Église?

Albert Dugas : C’est une situation difficile à comprendre. On sait qu’à l’intérieur de l’Église catholique présentement, il existe des prêtres mariés. Les prêtres de toutes les Églises orientales qui sont reliées à Rome sont mariés par tradition. En fait ils n’ont jamais eu l’interdiction du Vatican de le faire. Il n’y a pas longtemps, le pape Benoît XVI  a intégré à l’Église catholique un groupe de prêtres et même des évêques anglicans mariés. Ceux-ci refusaient l’idée de l’ordination des femmes et se sont dissociés de l’Église anglicane. Le pape a même fait adopter une loi spéciale pour le permettre.

L’Étoile : Y’a-t-il donc une lueur d’espoir pour ceux qui désireraient voir abolir l’obligation des prêtres catholiques au célibat?

Albert Dugas : Le pape François démontre une plus grande ouverture que ses prédécesseurs, dont Jean-Paul II qui lui avait fermé complètement le dialogue. Il ne voulait pas qu’on en parle. Il avait même demandé aux Églises orientales reliées à Rome de ne pas ordonner de prêtres mariés dans les pays occidentaux, dont le Canada. Il avait émis une interdiction qui d’ailleurs n’a pas toujours été respectée. J’ai connu deux prêtres de l’Église orientale (un de l’Ontario et un autre de l’Ouest) qui étaient mariés. Ils ont été ordonnés, il n’y a pas si longtemps. Le pape François soutient que cela va prendre du temps, mais qu’il y a une solution et qu’il va la trouver. IL n’a donc pas fermé la porte. On pense qu’il y a plus de 100 000 prêtres, soit un quart des prêtres du monde qui ont quitté le ministère de l’Église catholique pour se marier. Plusieurs ont rejoint l’Église anglicane ou d’autres Églises avec leur famille. Ce n’est que depuis le douzième siècle qu’il y a une interdiction du mariage dans l’Église Catholique latine. Historiquement, c’est surtout une question de transmission des concessions. C’est plus une question de finance qu’une question de théologie.

 

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L'incinération 

8/7/2014

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L'incinération est devenue choses courantes dans nos coutumes. Il n'y a pas si longtemps  environ une vingtaine d'années  l'Église catholique n'acceptait pas l'incinération  prétextant que c'était une forme de négation de la résurrection . Ces temps sont révolus. 
Chaque famille disposent des cendres selon les désirs du défunt. Dans notre milieu le plus souvent l'urne est déposée en terre. Certain préféré que leur cendres soient jetées en mer. Peu importe le mode que l'on choisi pour se départir des cendres il faut toujours considérer que c'est encore la personne que l'on retrouve et qu'il faut y accorder un certain respect. Signe que c'est bien la personne qu'on retrouve il est possible de retracer son ADN à partir de ces cendres.
Je viens de vivre une expérience un peu spéciale. Une connaissance qui était en vacances dans notre région à vu flotter un coffre sur l'eau dans laBaie des Chaleurs. Après avoir ouvert le coffre  qu'elle ne fut pas la surprise de constater qu'il s'agissait d'une urne funéraires. Avec les indications qui se trouvaient à l'intérieur j'ai réussi à retracer le salon qui avait procédé à l'incinération. J'ai communiqué avé le salon qui se trouve à 6 heures de route d'ici, dans une autre province. Les responsables du salon sont venus récupérer les cendres.

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Mise en garde du pape aux nouveaux évêques

7/1/2014

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Lors de la remise du pallidum aux nouveaux évêques le pape François a cru bon de leur faire une mise en garde en leur disant de ne pas se laisser emporter par l'orgueil en se glorifiant de leur titre. La tentation peut être grande de se considérer comme des petits seigneurs  et d'oublier que leur rôle  est d'être à l'écoute et au service des diocésains.  En Acadie nos évêques sont très simples et proches du peuple parce qu'ils sont issus de leurs milieux.
Le titre d'évêque peut facilement dévier de son vrai rôle surtout quand on n'a pas la vision de simplicité du pape François.
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Vidéo sur l'économie

3/28/2014

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Nous savons tous que le pape François parle souvent de l'économie, des abus du capitaliste. L'Église a-t-elle une voix à ce sujet, et bien oui, ce qu'on appelle la doctrine sociale de l'Église. Cette courte vidéo pose trois questions : Peut-on être heureux au travail? Qu'est-ce qu'on bon patron et que peut faire la prière dans tout cela. Une vidéo à visionner que vous soyez patron ou employé.
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Hommage à Angèle Arsenault

2/27/2014

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L'Acadie vient de perdre une de ses grandes artistes. Il convient de lui offrir nos h0mmages.
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493 ans après...

2/12/2014

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Photo
En préparant un cours sur l'histoire de l'Église j'ai trouvé cette caricature éditée par Luther. Tout de suite j'ai pensé au pape François. Cette caricature porte le nom de : Le bon et le mauvais pasteur. Tout au haut sur le toit de l'église se  trouve le pape accompagné de cardinaux qui lui baisent les pieds et les religieux qui invitent les fidèle à en faire autant. En bas à la porte de l'église, Jésus invite le monde à y entrer. Il est au milieu des gens et non sur un trône. Voilà pour moi ce qui me ramène au pape François, il invite, il accueille, il est au milieu de ses frères, pas collé à son trône. Voilà pourquoi le pape François parle au monde d'aujourd'hui, il marche sur les traces de Jésus.

J'inclue une pensée tirée de Zenit : « Mettez un prêtre saint dans une église de bois, ouverte à tous vents, il attirera et convertira plus de monde dans son église de bois qu’un autre prêtre dans une église d’or. C’est le prêtre qui donne la vie ; ce ne sont ni les pierres, ni les calices, ni les ornements…Et aujourd’hui, cependant, on travaille beaucoup plus à faire de belles églises, de belles cures, qu’à faire des saints. » (Le Véritable Disciple, Parole et Silence, 2010, p. 297)

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Un an après...

2/11/2014

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Il y a un an jour pour jour que le pape Benoît XVI remettait sa démission et cela à l'étonnement et l'incrédulité de tous. L'étonnement ne faisait que commencer. Après plusieurs jours de discussions, le consistoire, débutait le conclave, assemblée qui devait nommer un nouveau pape. 
Plusieurs noms ressortent comme étant possiblement le nouveau pape mais aucun ne parle de  Jorge Mario Bergoglio, ce jésuite Argentin. Comme je m'intéresse beaucoup à l'Église dans tout ce qu'elle a de beau et de moins beau, j'avais suivi le consistoire de très près, du moins ce qu'en disait les journalistes. La veille de l'élection du pape je reçois un appel téléphonique d'une station de radio me demandant si le lendemain j'accepterais de participer à une table ronde où se trouverait également notre vicaire général. J'ai expliqué au journaliste de la radio qu'il m'était impossible pour le lendemain, j'avais d'autres engagements. Il me suggéra de faire une entrevue préenregistrée qu'il ferait jouer pendant l'émission, table ronde. Comme le sujet m'intéressait j'ai accepté. J'ai donc fait l'entrevue en après-midi. Dans l'entrevue j'ai mentionné qu'il faudrait regarder du côté de l'Argentine pour trouver un pape qui réponde à ce que semble vouloir le consistoire. En soirée le pape François fut élu.
Le lendemain la table ronde a eu lieu et le réalisateur a fait jouer mon entrevue. À leur grande surprise et à celle des auditeurs ils réalisèrent que j'avais regardé du côté de l'Argentine et qu'effectivement le nouveau pape était Argentin.
J'ai donc reçu des appels téléphoniques me demandant comment j'avais su cela. J'ai donc expliqué que j'avais suivi de très près les débats du consistoire et que même si le nom      n'y était pas je savais qu'il existait en Argentine un cardinal qui répondait très bien au désir des cardinaux réunis. Je leur ai expliqué qu'en aucun temps j'avais eu une révélation ou quoi que ce soit, mais que je m'étais  simplement renseigné et j'en étais venu à cette conclusion.

L'émotion et la surprise de la démission de Benoît XVI et l'arrivée du pape François continuent de surprendre le d'émerveiller le monde chrétien et non croyant.
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Au nom de la rose

2/7/2014

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Photo
J’ai fais un retour dans le temps, je croyais vivre la période du film et roman Au nom de la rose. En effet depuis un mois je travaillais dans une bibliothèque. J’y ai trouvé des trésors. Je me suis retrouvé devant des livres datant de 1612, de 1700, de 1800. Mais ce sont surtout les livres de 1612 qui m’ont impressionné.

Quand j’ai commencé à lire la Somme se saint Thomas d’Aquin en latin comme de raison et en plus dans un grand livre datant de 1612, avec une couverture en peau d’agneau je me suis transporté dans le temps. J’avais l’impression de vivre au Moyen âge ou presque. Mon imagination m’a fait faire un voyage formidable. Je me voyais dans la bibliothèque de ces vieux monastères où se trouvait toute la science du temps, bien secrètement gardée. Pour ceux ou celles qui on vu ou lu le livre Au nom de la rose vous pouvez comprendre ce dont je parle.

Ce fut une très belle expérience qui me lance sur une vaste recherche : Trouver comment ces livres anciens se sont retrouvés dans cette bibliothèque alors que l’Acadie fut fondée en 1604 et qu’en 1612 il n’y avait qu’une poignée de Français en Amérique du nord. Si quelqu’un peut me guider dans ma recherche postez-moi un commentaire.

Le livre dont je vous parle est sur la photo.


Au nom de la rose.

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